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Sous le signe de l’amitié. N’étant pas différent des autres, je me suis à mon tour laissé contaminer par la fièvre du clic. Le texte commence par : « Ce matin, en ouvrant une fenêtre, un ange m’a vue et m’a demandé… » Mais au fait, quel lien peut-il exister entre les anges, les amis et le golf ? Le 26 septembre dernier s’éteignait à l’âge de 94 ans Byron Nelson, un immense champion et un saint homme. Qu’il ait été un champion d’exception, cela ne fait aucun doute, son palmarès parle pour lui. En 1945, il remporte 18 tournois, dont 11 successivement entre mars et août. La moyenne de ses scores s’établit à 68,33. Ce record ne sera battu que 55 ans plus tard, en 2000, par Tiger Woods. Qu’il ait été un saint homme, ce sont tous ceux qui l’ont connu, amis - professionnels de golf - journalistes et hommes politiques qui s’accordent pour l’affirmer. Dans une de ses dernières conférence de presse il disait ceci : J’aurais voulu l’écrire, mais ce que je peux affirmer, c’est que grâce au golf, j’ai rencontré des hommes d’exception. Certains sont devenus des amis. Eparpillés sur tous les terrains de golf du monde, ils font de sorte que partout où mes pas me guident, un foyer d’amitié m’attend. Et je me dis : Bienheureux ceux qui, comme Ulysse, ont bravé les Dieux Pour aller vers de nouveaux horizons Et moi, regardant passer les saisons, j’essaie de trouver les raisons qui me rivent à mon travail alors qu’il n’y a rien qui vaille une bonne partie avec des amis Car l’amitié n’a pas de prix ». Je n’aurais pu l’écrire. Mais je peux vous le dire. Bonne année, ou plutôt bonne partie à tous, Un ami vous attend au tee n° 1. Giulio.
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